Les Aventures De Fabienne Récit 02 - Le Caïd Au Grand CUr
Les Aventures de Fabienne récit 02 - LE CAÏD AU GRAND CUR
Pour mémoire, ces aventures de Fabienne, concept et photographies, sont de Steph (stefalpin chez HDS), qui me confie l'histoire coquine de son couple ainsi que des photographies de son épouse, qui les accompagnent. Je ne fais que relater ses désirs.
«Les honnêtes femmes sont inconsolables des fautes qu'elles n'ont pas commises ». Sacha Guitry
Fabienne a dû céder à un surveillant de l'école de ses s qui en a surpris un, volant de l'argent dans le sac de son institutrice. À son corps défendant, elle a du effec la première fellation de sa vie, ainsi que subir aussi pour la première fois l'introduction d'une langue dans son vagin et le suçage de son bouton d'amour qui l'a fait crier son bonheur.
À tout cela s'est ajouté un coït sauvage par son tourmenteur, qui, à sa plus grande honte, lui a fait éprouver une grande jouissance.
Le surveillant Paulin, la laisse, presque nue et toute pantelante dans le bois jouxtant le lac à proximité de sa cité. Elle peut, à tout moment être surprise par des randonneurs ou des gamins en train de jouer. Elle se rajuste maladroitement et entreprend de rentrer chez elle.
Elle traverse la cité en se croyant la cible de tous les regards des habitants qui doivent, pense-telle, s'apercevoir qu'elle a fauté. De surcroît, elle sent la mouille et le foutre mélangé qui s'écoule lentement entre ses cuisses, se remémorant le plaisir qu'elle a eu lorsque la bouche de Paulin s'est emparée de sa chatte en feu et du bouleversement de ses sens lorsque son énorme verge l'a pénétré jusqu'au col de l'utérus. Elle se sent rougir et frissonner à ce rappel d'une situation qu'elle voudrait croire sans lendemain, bien que, dans le moment présent, elle a une envie inavouable de ressentir encore les mêmes sensations dans sa chair intime.
Une fois chez elle, elle prend un bain parfumé, pour se débarrasser de la transpiration, du jus poisseux du sperme et de sa propre miction, ainsi que des effluves de l'amour charnel qui la recouvre entièrement.
Le lendemain, alors qu'elle va retirer son courrier dans la boite aux lettres, elle découvre une grosse enveloppe en papier bulle portant son prénom. La décachetant rapidement, elle découvre avec horreur des photographies en grand format la représentant en train de forniquer avec le nommé Paulin, dont le visage a été barbouillé au feutre noir. Les clichés, la représentent effectuant une fellation, alors que l'imposant membre est plongé au fond de sa gorge, le sperme dégoulinant sur son menton et sur sa poitrine. D'autres photos, la montre allongée sur lherbe, alors que l'homme lui enfonce sa bite bien au fond de son vagin.
Comment ne s'est-elle pas aperçue qu'elle était prise en photo pendant quelle subissait les assauts de son violeur ? Surtout quelle remarque, horrifiée, qu'indéniablement, son visage reflète son plaisir, alors quelle prend un pied d'enfer !
Après que Paulin ait donné rendez-vous près du lac à Fabienne, il a rencontré Hassan, un jeune Beur avec lequel il trafique un peu ; en fait, c'est le caïd de la cité où vit Fabienne. Paulin, lui confiant un appareil photo numérique, lui indique qu'il va baiser une mère de famille dans les bois et qu'il aimerait bien avoir des clichés de sa partie de jambes en l'air. Et puis, Hassan pourra certainement en profiter par la suite en se servant des photos pour faire pression sur la femme.
Lorsque Hassan, caché dans les fourrés, assiste à l'avilissement de linnocente bourgeoise humiliée par Paulin, et que celui-ci profite honteusement de son corps, il prend le maximum de clichés. Puis, avant de rendre l'appareil à Paulin, il en fait une copie sur une clé USB. À sa grande joie, il s'est rendu compte que Fabienne qui vient de se vautrer dans la fange pour défendre son honneur, est la femme de son plus grand ennemi, Stephan, le directeur du centre commercial de la cité, qui l'a surpris à plusieurs reprises en train de voler des compact-disc et des vêtements dans son magasin.
Dans l'enveloppe, en sus des photographies compromettantes, Fabienne découvre une feuille de papier sur laquelle sont collés des lettres prises dans des journaux découpés : SI TU VEU PAS QUE TON MARIE VOYE CES FOTO OUVR TA PAURTE A 15 H DEMEIN. La jeune femme est décomposée. Quelle est la personne qui vient de lui envoyer ce torchon de papier indigne. Elle se doute bien que ce chantage va encore l'avilir et que le maître chanteur va vouloir profiter de son corps ! En même temps qu'elle s'angoisse de la situation dans laquelle elle se trouve, elle sent sa culotte s'humidifier. Ce n'est pas possible, elle mouille à la pensée de se retrouver encore violentée par un inconnu, car ce ne peut être Paulin. Si c'est un homme rustre et brutal, il n'est pas sans instruction. Ce doit être un de ces petits voyous qui traînent continuellement dans les couloirs des immeubles de la cité.
Elle passe une nuit épouvantable et refuse à son mari le devoir conjugal quelle lui doit, se sentant indigne de lui livrer son corps souillé. Le matin, elle sort les photographies de la cachette où elle les avait rangées, et elle contemple avidement, avec un mélange de répugnance et denvie, sa propre dégradation en se voyant ainsi prendre un plaisir non dissimulé à ces actes obscènes et pervers. Il lui est incompréhensible quelle ait pu se vautrer dans le péché, alors que malgré tout, elle sest bien livrée avec ardeur et passion à la fornication voluptueuse qui la révélé. Elle songe à lhomme qui va frapper à sa porte à 15 heures ; elle ne peut refuser de lui ouvrir, dailleurs en a telle envie ? La peur et lexcitation se mélangent dans son esprit. Elle a une réaction étrangement contradictoire, entrant dans sa salle de bains, elle se lave délicatement dans ses parties les plus intimes et se maquille soigneusement.
En rentrant chez elle vers 10 heures 30, elle se sent à nouveau souillée, par la miction intime qui s'écoule malgré elle le long de ses cuisses. La fièvre de ce qui va lui arriver est plus forte que la honte de son indignité et du grave péché qu'elle va commettre. Elle retire son slip sali et se passe une éponge mouillée entre ses cuisses nues. Ce faisant, elle frotte les chairs de sa vulve et introduit l'éponge dans la conque entrouverte de son vagin. Elle se masturbe pour la première fois de sa vie, alors qu'elle a toujours refusé à son mari de le faire, surtout devant lui, avec qui elle fait toujours lamour dans le noir le plus complet. Mais que lui arrive-t'il ? Elle sent les pointes durcies de ses seins qui lui font mal en frottant dans son soutien-gorge, alors que sa chatte est brûlante. Elle a une envie furieuse de faire l'amour. Soudain, son ordinateur sonne indiquant quun message vient darriver. Elle ouvre le mail qui lui est adressé et le lit, effaré :
OUBLI PAS A 15H OU SINON LES FOTOS A TON MEC TU PORTERAS UN SOUTIF ET UNE CULOTE MAUVE EN DENTEL UN CHEMISIER EN DENTEL NOIR ET UNE MINIJUPE AVEC DES BAS PAS DES COLLANTS
Fabienne est atterrée. Comment cet individu a til eu connaissance de sa boite mail ? Ce ne peut être que le sinistre Paulin, qui a accès aux dossiers des parents, à lécole où il est surveillant qui le lui a donné. Affolée par la demande expresse de son tourmenteur, elle se dit quelle na que des collants, pas de lingerie mauve et pas de corsage noir en dentelle non plus. Elle se rhabille rapidement, prend son sac et redescend les escaliers pour prendre un autobus qui va la conduire dans le centre-ville. Il nest pas question quelle aille au centre commercial où se trouve son mari ; dailleurs heureusement quil ne rentre pas pour déjeuner, ni ses s qui sont à la cantine.
De retour chez elle, Fabienne enfile les sous-vêtements suggestifs et les bas qui mettent en valeur ses jolies jambes. Elle sadmire dans la glace de sa chambre, se retournant pour voir la courbe de ses reins et ses fesses rondes quelle trouve un peu trop pleines, mais qui font retourner les hommes sur son passage. Puis, elle passe une jupe très courte à chevrons gris quelle a dans sa garde-robe et boutonne le chemisier noir en dentelle quelle vient dacheter. Elle chausse des escarpins noirs à talons hauts et se voyant à nouveau dans la glace, elle a une bouffée de chaleur, se sentant dun coup trop désirable pour nimporte quel homme la voyant dans cette tenue.
Elle regarde sur le réveil de sa chambre, lorsque brusquement la sonnette retentit. Il est 15 heures pile. Ses mains sont moites et n'ayant pas le temps de vérifier à nouveau sa tenue, elle lisse sa jupe quelle trouve désormais trop courte, et, les jambes flageolantes, elle ouvre la porte, tremblante de peur. Elle se trouve face à un grand type en jean et débardeur, à la peau très bronzée, au visage dissimulé par une cagoule noire. Celui-ci la bouscule et referme vivement la porte derrière lui. Fabienne se jette à genoux devant lui et le supplie.
- Je vous en prie, ne me faites pas de mal. J'accepte tout ce que vous voudrez Monsieur. J'ai trois s, je vous supplie de ne pas me !
Sous la cagoule, Hassan rit sous cape. Il n'a pas l'intention de faire du mal à cette neuf, mais de lui faire du bien en la besognant proprement. Pour l'instant, il retire sa cagoule tout en rappelant à l'ordre la jeune maman.
- Allez ma poulette, mène-moi à la chambre conjugale et plus vite que çà !
Fabienne, domptée par la voix autoritaire du jeune homme s'empresse, toute tremblante douvrir le chemin qui mène à la chambre de son couple, marié depuis neuf ans. Elle se sent fébrile et tremble de tous ses membres devant ce jeune Beur quelle trouve dailleurs beau garçon, sattendant au pire : la peur, langoisse mais aussi la curiosité ayant envahi son subconscient.
Lhomme la fait asseoir sur le lit et se pose à côté delle. À sa grande surprise, il lenlace et lembrasse délicatement sur son visage, parcourant son cou, ses joues, son front pour enfin lui prendre sa bouche avec une grande douceur, glissant sa langue sur ses lèvres sans la forcer. Cest elle qui entrouvre sa bouche pour que la langue dHassan se coule et semmêle avec la sienne. Fabienne, tout alanguie, embrasse à présent avec fougue le jeune homme qui lui palpe sa poitrine au travers la soie de son corsage. Elle est rouge de confusion et de honte, mais elle a aussi envie que cela ne sarrête pas, toujours collée à la bouche de lhomme qui à présent lui retrousse sa jupe, ses mains caressant le nylon de ses jambes et de ses cuisses et atteignant bientôt le rempart, oh, combien fragile, de la soie du slip quil trouve entièrement trempé. Les doigts qui frottent le tissu soyeux englué de cyprine font pousser un gémissement à la jeune femme qui jouit déjà à cette manipulation, qui pourtant, ne touche pas encore sa chair. Elle embrasse toujours avec fougue le jeune Beur qui sait si bien sy prendre. Elle sait à présent quelle se donnera à lui sans réticence, même si elle doit aller en enfer pour cela. Hassan lui écarte sa culotte sans quelle proteste et fourre deux doigts dans la fente gluante de liqueur vaginale ; il les introduit profondément dans la chair moelleuse arrachant cette fois des cris plaintifs à Fabienne qui tombe presque en syncope.
Hassan en profite pour se déloquer de son jean et de son tee-shirt, il enlève aussi son slip et ses Nike, puis, il entreprend dôter le corsage à la femme de son plus acharné ennemi. Il na pu se résoudre à la maltraiter comme il en avait lintention. Dabord sous ses airs de petit dur, dans le fond ce nest pas un si mauvais garçon ; puis, il a vraiment envie de faire lamour avec cette jeune femme, qui bien quinexpérimentée, est très belle et émouvante. Fabienne qui reprend peu à peu conscience, aide le jeune homme à se débarrasser de son corsage, ainsi que de son soutien et de son slip. Elle ne garde que sa jupe étroite et ses bas, tout cela sous linjonction autoritaire de lhomme, réalisant brusquement quil est entièrement nu. Elle pique un fard, mais ne peut sempêcher dadmirer le corps dathlète au teint mordoré qui soffre à ses yeux ébahis. Entre les jambes du garçon un sexe imposant se dresse, alors que sasseyant sur le lit, jambes écartées, il lui lance.
- Allez ma caille, viens me pomper la queue et appliques-toi en agitant ta langue comme dans ma bouche tout à lheure !
Fabienne nen revient pas que ce garçon si gentil qui la embrassé avec passion, se montre aussi grossier en lapostrophant de la sorte. Pourtant, elle sait quelle na pas le choix, aussi elle approche timidement sa bouche du bâton de chair tendu vers elle. Hassan empoignant ses cheveux dune main la fait mettre à genoux entre ses jambes et de lautre main, il lui présente son dard devant ses lèvres. La jeune femme ne pouvant se révolter ouvre la bouche, ayant beaucoup de mal à entourer de ses lèvres le vigoureux mandrin de chair qui tressaute au fond de sa gorge. Elle manque d'abord vomir, ayant eu un hoquet de surprise à l'introduction inopinée de la verge turgescente d'une dimension aussi démesurée. Mais elle se reprend, pompant avec ardeur ce vit qu'elle ne pouvait imaginer il y a peu de temps. Hassan lui caresse ses mamelons avec une grande douceur. Malgré son air de mauvais garçon, il a certainement des talents magiques, car il s'applique avec une grande habileté, tripotant et palpant les petits seins de Fabienne avec une minutie et une sollicitude étonnantes.
Fabienne sent le membre vibrer dans sa gorge, alors que lhomme pousse des soupirs de contentement. Curieusement, elle ressent une certaine satisfaction à se savoir maître du plaisir que doit ressentir le jeune homme. Cest pour cette raison, étrange et nouvelle pour elle, quelle sapplique le mieux quelle le peut. Elle pompe le sexe avec vigueur à présent, se démenant pour donner du plaisir à l'homme qui rugit bientôt de la satisfaction qu'il ressent, lâchant des jets puissants de sperme dans le gosier de la jeune femme. Celle-ci, surprise, en avale d'abord une bonne partie, puis en voulant se retirer, elle est e par l'homme qui la tient par les cheveux, à avaler la liqueur qui déborde par les commissures de ses lèvres. Elle ne peut s'empêcher de laisser des larmes jaillir devant son humiliation à devoir ingurgiter ce foutre épais et chaud qui s'écoule dans sa gorge. Hassan, prenant sa tête dans ses mains, lèche ses pleurs et lembrasse pour la consoler. Puis, la prenant à bras le corps, il létend sur le lit et, sétendant au-dessus delle, il vient lécher les mamelons dont les bouts sont turgescents. Elle gémit sous la caresse linguale qui excite ses globes, surtout que les doigts du jeune homme s'agitent aussi dans sa vulve qui s'est ouverte instantanément et qui déjà laisse perler un peu de mouille. Roland s'agenouille en écartant les jambes de Fabienne avec ses mains. Celle-ci, facilite l'élargissement de ses cuisses, s'offrant franchement aux agissements lubriques du jeune homme. Il peut alors examiner tout à son aise la jolie fente, entourée dune bonne touffe de poils bruns, qui palpite d'excitation contenue.
- Reste bien écartée ! Demande-t-il en souriant à Fabienne.
Celle-ci tente timidement de resserrer les jambes, ses pommettes devenant écarlates, trahissant la gêne qu'elle éprouve à se sentir ainsi exposée à la curiosité vicieuse du jeune homme. Mais celui-ci n'a cure de ses sentiments, aussi, repoussant davantage les cuisses de part et d'autre, il porte les mains sur la vulve vibrante et de ses doigts posés tout au bord, il ouvre les grandes lèvres dénudées jusqu'à ce que l'étirement exagéré arrache une plainte à la jeune maman. La fente écartelée dévoile sans aucune restriction l'entrée rouge sombre du tunnel vaginal et dans le haut, presque à la commissure de l'échancrure, la bille rouge et congestionnée du clitoris que l'ouverture béante fait ressortir comme un pénis d' turgescent, confirmant bien quelle ne peut cacher l'érection de son bouton d'amour.
Après un long silence pendant lequel Fabienne sent le regard étincelant posé sur son sexe béant, Hassan applique ses lèvres sur la vulve brûlante de désir. Elle pousse des soupirs de ravissement lorsque la langue s'infiltre dans les replis de la chair et qu'elle titille son clitoris. Elle ne peut le cacher grâce aux trépidations de son corps et aux déclenchements des spasmes qu'elle ne peut pas s'empêcher d'avoir. Hassan lui caresse ses seins, pinçant ses boutons qui sont gonflés et durs, augmentant encore plus son plaisir. Dans un état second, elle caresse la tête du jeune homme qui la broute avec frénésie.
Elle a déjà eu deux orgasmes lorsque Hassan, redressant sa proie, tenant d'une main son membre imposant, le glisse entre les cuisses de Fabienne, puis cherchant sa voie avec son gland, il s'engouffre d'un seul coup dans la matrice bavant de mouille. La jeune femme pousse un petit cri, mais d'elle-même, lorsque le vagin a avalé la totalité du membre, elle tend son ventre au sexe qui vient de la perforer jusqu'au fond de sa matrice. Elle agrippe avec ses mains les jambes du jeune homme, alors quelle est étroitement chevillée sur sa queue et que ses jambes sont posées sur ses épaules. Lhomme la pénètre presque avec sauvagerie, senfonçant et se retirant du con devenu congestionné par le pilonnage intensif auquel il est soumis. Fabienne na jamais été traitée de la sorte, son mari se glissant avec une grande douceur dans son intimité. Elle éprouve de la douleur jusquau col de son utérus qui est cogné par le gland qui perfore son vagin, mais en même temps, elle jouit étrangement de cette pénétration brutale qui laboure ses chairs meurtries. Elle enlace son cavalier et ahane des :
- Encore ! Ouiiiii ! Encore ! Oooooooh ! Ouiiiiiiiii !
Celui-ci sen donne à cur joie et à bout de souffle, il éjacule dans le petit manteau quil avait enfilé rapidement avant de baiser la femme du directeur de centre commercial.
Fabienne est épuisée par la baise torride quelle vient de subir, pourtant elle nen na pas finit, car Hassan en veut encore. Il lui demande de se mettre tête-bêche sur lui et de prendre sa bite dans sa bouche pour la nettoyer et lui redonner de la vigueur. Fabienne sexécute, malgré son dégoût à absorber le sexe, maculé de sa propre cyprine. Pendant ce temps, Hassan déguste le vagin gorgé du jus intime de la jeune femme qui recommence à jouir du traitement que le jeune homme lui impose. Soudain, elle a un brusque retrait de tout son corps, un doigt vient de senfoncer dans son rectum brutalement et profondément. Elle veut se retirer, mais Hassan a entouré ses cuisses de ses deux bras la tenant bien serrée contre lui, sa main droite ayant pu, malgré tout, atteindre lillet offert devant ses yeux. Il creuse un cratère dans le cul convoité, se promettant bien que la prochaine fois il lenculera proprement malgré ses protestations de vierge effarouchée.
Enfin, sa verge ayant repris de la vigueur dans la bouche féminine, il redresse sa proie et la met à cheval sur lui, restant allongé sur le dos. Il lui fait écarter ses jambes de chaque côté de son corps et lui demande de prendre son pénis et de se lintroduire dans sa minette. Fabienne, chahutée de toute part par ce pervers, obéit dans un état second et se retrouve, telle une cavale, chevauchant le jeune homme avec son sexe enfoui dans sa matrice. Elle se dresse et se rassoit en cadence, éprouvant un plaisir inouï à cette chevauchée. Hassan a saisi ses tétons, les tordant sous ses doigts puissants, faisant hurler Fabienne, qui ne sait plus si cest de douleur ou de plaisir jusquà lorgasme fulgurant qui la saisit et la laisse toute pantelante, affalée sur le corps du garçon
A suivre
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